Mercredi 14 janvier 2009 à 20:25
Juste par curiosité, parce que c'est la curiosité qui l'emporte souvent, savoir ce que LA, oui, juste LA, savoir ce que vous faites...
Sinon, aujourd'hui, c'était ENFIN projet personnel, qui a des allures de loin d'être fini, des allures d'escargot, de spirale, de voir sans être vu. Bientôt, ça viendra ici, juste pour voir.
Croqué par acces.au.bonheur
Lundi 12 janvier 2009 à 18:06
Du nouveau, par envie, au lieu de faire la peinture pour l'école, se dire "je fais ça le temps que ça sèche". Panne d'inspiration pour l'autre. Tant pis.
Et puis il y a eu la discussion avec l'autre. Oui. Enfin je dirais même. En espérant que cela fasse le bien que je souhaite. C'est comme une période de sursis, une période d'essai à deux, pour se dire si le problème est irrémédiable ou non.
Maintenant il y a la table à dessins montée et remplie de choses de dessins. Oui, déjà remplie.
Croqué par acces.au.bonheur
Jeudi 8 janvier 2009 à 21:48
Croqué par acces.au.bonheur
Ce matin, la neige tapissait mon esprit
Mardi 6 janvier 2009 à 22:14
Ce matin, les rues étaient blanches. Blanches comme neige, oui. C'est étonnant, ce feutré qu'elle apporte, elle recouvre tout, jusqu'aux petits bruits. Les bruits des voitures semblent atténués. Ils le sont peut-être, ne serait-ce que parce qu'elles sont au ralenti. Tout semble tourner au ralenti quand c'est comme ça. Ce matin, seule la sonnette d'avertissement du tram retentissait, un peu plus loin, au bout de la deuxième rue. Les traces des plus matinaux étaient déjà recouvertes. En marchant, j'avais presque honte de fouler cette jolie pellicule et d'y laisser ces petites traces de pas, là, juste derrière moi, sur le trottoir, encore vierge, lui, pas comme les rues. Alors, j'ai bifurqué, sur la route. Là, je pouvais faire des traces, personne ne les verrait.
Ce matin, la neige blanche recouvrait l'intérieur de mon crâne. Ce matin, cela m'a mis de bonne humeur.
Croqué par acces.au.bonheur
Lundi 5 janvier 2009 à 17:55
La mode, ça fait des choses étonnantes parfois. Ce phénomène, Facebook, tout le monde en parle hein. Je ne lui retiendrais qu'un avantage, oui. Retrouver des personnes perdues de vue. Même s'il faut peut-être bien se dire que ces personnes là on ne leur adressera la parole qu'une seule fois, pour savoir ce qu'elles deviennent, mais cela reste tellement superficiel.
Et pourtant, je retrouve au détour d'une recherche ma meilleure amie d'enfance, perdue de vue. Partie à 8ans de ma vallée, ce n'était pas l'âge pour garder le contact. C'est toute cette période qui a fait du ménage dans ma vie. Les amis. Se refaire des amis. Les reperdre. J'ai pourtant continué à la voir, jusqu'à ce qu'à son tour elle quitte cet endroit. Et puis c'est le vide. Des nouvelles par d'autres. Puis rien.
Voilà que ce phénomène sauve la chose. Je la redécouvre tellement changée, à peine la reconnais-je à un sourire. C'est là qu'on se dit que le temps passe affreusement vite.
[A peine si je la reconnais, elle]
Croqué par acces.au.bonheur