Il y a ce sentiment qui s'est installé. Un sentiment à celui qu'il y avait avant, pour un autre.
Il y a quatre mois, je n'y aurais pas cru. Je ne croyais plus en l'amour, il m'avait trahi, piétiné, déchiré, rabougri... Il me faisait voir la vie en couleur, et m'avait repris ma vision en trois fois.
J'ai réappris. Avec de la peur. La peur que tout reparte encore.
Mais il semble que celui d'en face a des envies de longtemps, très longtemps même.
J'ai tous ces sentiments que j'avais, arrivés en très peu de temps. Ca fait du bien mais ça fait peur.
Et puis, Il est parti pour ces premières vacances depuis un an, il est à une heure de décalage horaire, et j'ai cette impression qu'il est a des années lumières. Parfois, j'ai la chance de le voir l'entendre, sans pouvoir le toucher.
C'est fou comme deux pauvres semaines peuvent paraitre une éternité!
Je me suis découverte un manque, comme une drogue qui ferait déjà des ravages en moi. La sensation de manque. Plus d'envie, de rien. plus d'appétit. Plus de motivation. Tout semble long. Le temps semble s'étirer, comme s'il voulait que la sensation dure d'avantage, comme si cela ne suffisait pas.
J'ai réappris à pleurer, aussi. C'est fou ce que cela fait du bien.
Et puis il y avait l'autre jour, retour par tram-train comme chaque jour. Et cette femme, assise en face de moi dans le tram, entre les deux articulations de celui-ci, cette femme qui souriait, en écoutant de la musique. Et je ne pouvais pas m'empêcher de l'envier. J'avais la boule dans la gorge, les larmes au bord des yeux, et elle, elle souriait. Je me suis dit qu'elle devait être amoureuse pour sourire autant. Je ne vois pas sinon. Il n'y que ce sentiment qui fait avoir de pareil sourire. Elle n'était pas vraiment jolie, mais elle était belle de son sourire. Je l'enviais tellement. Le souffle me manquait...
Il y a quatre mois, je n'y aurais pas cru. Je ne croyais plus en l'amour, il m'avait trahi, piétiné, déchiré, rabougri... Il me faisait voir la vie en couleur, et m'avait repris ma vision en trois fois.
J'ai réappris. Avec de la peur. La peur que tout reparte encore.
Mais il semble que celui d'en face a des envies de longtemps, très longtemps même.
J'ai tous ces sentiments que j'avais, arrivés en très peu de temps. Ca fait du bien mais ça fait peur.
Et puis, Il est parti pour ces premières vacances depuis un an, il est à une heure de décalage horaire, et j'ai cette impression qu'il est a des années lumières. Parfois, j'ai la chance de le voir l'entendre, sans pouvoir le toucher.
C'est fou comme deux pauvres semaines peuvent paraitre une éternité!
Je me suis découverte un manque, comme une drogue qui ferait déjà des ravages en moi. La sensation de manque. Plus d'envie, de rien. plus d'appétit. Plus de motivation. Tout semble long. Le temps semble s'étirer, comme s'il voulait que la sensation dure d'avantage, comme si cela ne suffisait pas.
J'ai réappris à pleurer, aussi. C'est fou ce que cela fait du bien.
Et puis il y avait l'autre jour, retour par tram-train comme chaque jour. Et cette femme, assise en face de moi dans le tram, entre les deux articulations de celui-ci, cette femme qui souriait, en écoutant de la musique. Et je ne pouvais pas m'empêcher de l'envier. J'avais la boule dans la gorge, les larmes au bord des yeux, et elle, elle souriait. Je me suis dit qu'elle devait être amoureuse pour sourire autant. Je ne vois pas sinon. Il n'y que ce sentiment qui fait avoir de pareil sourire. Elle n'était pas vraiment jolie, mais elle était belle de son sourire. Je l'enviais tellement. Le souffle me manquait...
Je sais, que dans une semaine tout pile, j'aurais retrouver le sourire, et tout type de motivation.