Que je pense à toi, Brenchon, coloca(trice) de mon coeur, coloca(trice) de chambre d'internat blanche, voire colorée de façon pastel et totalement inconcevable, type chambre d'hopital. Ce matin, je vidais le flacon de crème qui faisait les mains plus oranges qu'elle ne fait un "hâle léger teinté éclat d'été". Et cette odeur de soirée massages sur le lit à la couette jaune, dans un internat plus chouette, au son du téléphone, des milliers de messages envoyés, et des histoires de pipelettes. Les séances épilateur rugissant, laissant nos jambes rouges mais légères. Et nos rictus de douleur.
Je pense à toi, avec Mayon on s'est dit que les nouvelles manquaient, par faute d'internet surement. Et pourtant cela ne devrait pas.
Je suis rentrée d'une semaine de vacances-pluie, je vais presque avoir du temps (outre la maquette), je serais au téléphone.
Je pense à toi, avec Mayon on s'est dit que les nouvelles manquaient, par faute d'internet surement. Et pourtant cela ne devrait pas.
Je suis rentrée d'une semaine de vacances-pluie, je vais presque avoir du temps (outre la maquette), je serais au téléphone.
même d'un sms, d'une lettre