Le 15 août passé, nous voilà en phase critique. Le temps passe, et je ne le vois pas passer. Zut-de-flûte. J'ai hâte mais pas trop. L'envie de dire "ça, ça serait bien là", ou encore "oh ça serait bien si on achetait ça"... Se faire un nid douillet pour passer au moins une année, faire un semblant de bien-chez-soi, pouvoir se dire "vivement que je rentre à l'appart". Mais tout ça veut dire fin de vacances, qui ne se sont pas trop faites ressentir comme des vacances non, plutôt goût fatiguantes et travailleuses. Il le fallait pourtant pour les quelques sous qui serviront au cocon.
Peu de barbecue-party, peu de sorties-d'été tout court, un peu le mauvais goût dans la bouche du monde du travail. Et de ses tracas!
J'ai hâte la fin, et pourtant le changement fera mal, plus de tout le tralala d'internat et tous les fous rires connus.
Ce sera week-end parisiens, lillois, genevois et toulouains pour ma part.