Il y a cette façon d'être distante. Ne pas en dire trop. Ici je veux dire.
Et au fond il y a tout un tas de bidules à vouloir coucher sur le papier, mais la lassitude l'emporte, même à ce point-là.
Même la cocotte-minute qui devrait siffler ne sort pas de son placard. Réduire les gestes au strict nécessaire.
Comme un lendemain matin de bringue. Ouvrir un oeil et se dire que non, plus tard, bien plus tard.
Bringue ou pas bringue d'ailleurs. Souvent, très souvent, trop souvent ces temps-ci.
Et puis viens les doutes, sur l'année à venir, des tonnes de choses à penser.
Envisager, ne pas le faire, farfouiller des heures sur le net, à la recherche d'un fictif pas bien sur.
Ne pas savoir où mettre les pieds, se perdre un peu, tâtonner.
Retourner à ses maths, voilà la solution (simplement pour maîtriser ses projets, architecturaux, je l'entends bien).
Bonne soirée :)